Déjà, il y avait quelques signes avant-coureurs. Au week-end prépa, alors que j’indiquais leurs chambres aux animateurs, Bruno m’informait naturellement qu’en ce lieu, il ne pouvait dormir qu’au bord de la rivière. Ne souhaitant pas contrarier d’emblée ces deux jours de travail, j’acquiesçais en précisant qu’il ne pourrait pas en être ainsi durant le séjour. J’ai vu dans les yeux de Bruno une résignation (...)